Recherche documentaire et
méditation sur
Sommaire :
Ø 25 Décembre, Noël ? ou...? ? ?
Ø Noël, qu´en pensent les laïques ?
Ø Chronologie de l'instauration de la Fête de Noël
Ø IV EME SIECLE INSTAURATION DES PRINCIPALES FETES
Ø Un Chrétien doit-il célébrer Noël?
Ce qui n'était pas parmi les
premiers festivals Chrétiens –
Le Rôle de la Religion dans la
ville de Rome d'autrefois
"La Christianisation"
des Coutumes, Symboles, et Terminologie –
Ø Les cultes pré-chrétiens dans le monde antique
LES CONDITIONS DE DIFFUSION DU
CHRISTIANISME DANS L'EMPIRE ROMAIN
La notion de " persécutions
" est à nuancer :
From :
www.censure.org/politique/religions/catho/noel.htm
Depuis la mémoire des temps, les tribus les plus primitives fêtaient
le jour le plus court de l'année, le 21 décembre, jour du solstice
d'hiver à partir duquel le soleil remonte graduellement sur l'horizon. Dans le
Nord et l'Est de l'Europe en particulier, les rites teutons, germains et
celtes, organisaient, dans la joie, des fêtes pour le soleil renaissant, pour
le feu et la lumière nécessaires à la vie, symboles de chaleur et de
prospérité. A Rome aussi, du 19 au 26 décembre, les Saturnales étaient une
période de réjouissance où 1'on s'offrait déjà des cadeaux et où on honorait
des dieux.
Mais en 1'an 708 de Rome (vers moins 50 av. JC), un certain Jules César qui
aurait bien voulu se faire roi et dominer Rome, voulut modifier le calendrier
1unaire du roi Numa pour le mettre en accord avec le cours du soleil. Il créa
le calendrier julien, base de notre calendrier actuel. Le jour le plus court
fut situé erronément le 25 décembre.
Le mithraïsme, d´origine
persane, fut importé à Rome en 68 av.J-C, par des légionnaires. Cette religion
respectait les dimanches comme jours sacrés et célébrait la naissance de
Mithra, dieu du soleil, le 25 décembre, " Dies
Natalis Solis Invicti ".
L´empereur Commode,
161-192, se fit initier aux mystères de Mithra.. Plus tard, en 274,
1'empereur Aurélien, conquérant en Orient, fut le premier empereur qui se soit
fait diviniser de son vivant, voulant renforcer ainsi son pouvoir politique et
spirituel sur les multiples diversités et sensibilités de son empire. Il imposa
le culte du Soleil Invaincu comme religion d´état
lors de la célébration du 25 décembre.
L´histoire ne nous
apprend pas quand est né Jésus, ni d´ailleurs
quelle fut exactement sa vie… Certains textes historiques, et dans la mesure où
l´on peut s´y fier, amènent à penser
que Jésus est né un jour d'hiver, dans 1'hémisphère occidental, après le
recensement de Quirinus. " Achélaus
régnait depuis peu en Judée ",
ce qui permet de placer la naissance de Jésus entre 7 et 4 avant 1'an 1. Selon
d´autres sources,
Jésus serait né au printemps.
Lorsque, bien plus tard, l'empereur Constantin (306-334) instaurera le
christianisme comme religion officielle de l'empire, les théologiens fixent
tout "naturellement" la fête de la naissance de Jésus "Soleil de
Justice" le 25 décembre, fête de 1'empire qui déjà reprenait la tradition
solaire.
La première célébration connue de cette naissance date de 330, mais la première
indication écrite de la célébration le 25 décembre se trouve dans une chronographie
de 354 seulement.
L´ère chrétienne ou
ère de
Conquise de 59 à 51 av. JC,
Il y aura d´abord l´introduction en Europe, par
les légions romaines, du culte de Mithra, et qui préfigure le pré-christianisme
des premiers siècles. Il y a d´ailleurs
des ressemblances entre les deux cultes, ainsi, les premiers " martyrs " en Gaule sont souvent
d´abord des
légionnaires avant d´être
transformés en " saints " ; quelques
sanctuaires découverts en Europe du Nord en témoignent.
Puis il y aura l´arianisme,
également importé de Rome et d´Orient
par les légions romaines. Arius était fondateur d´une
des premières églises d´Orient.
Mais l´arianisme se
trouva ensuite condamné comme hérétique par le catholicisme romain selon les
aléas du pouvoir impérial à Rome et Constantinople.
Quoiqu´il en fut,
fixée le 25 décembre par Rome, la fête de Noël sera confrontée à la fête du
solstice d'hiver vécue le 21 décembre par la population locale. La fête païenne
sera, de gré ou de force, graduellement interdite, et tout aussi graduellement,
les rites, habitudes et légendes du solstice vont se déplacer vers le 25 décembre
imposé par le dogme.
En fait, ce n'est que tout récemment, vers 1800-1850, que la fête chrétienne
s'est réellement popularisée ici et dans le monde, suivant les conquérants, les
missionnaires ou les émigrants européens.
En dehors de la messe commémorant la naissance de Jésus, pratiquement tous les
détails de cette fête rappellent le solstice ou sont des éléments non-chrétiens
d'origine que 1'on retrouve dans les contes et légendes populaires de 1'Europe
occidentale.
Le Père Noël : Personnage légendaire totalement non-chrétien, il distribuait depuis longtemps des jouets et des friandises aux enfants sages de tout le Nord de l´Europe. Dans l´article consacré à " St-Nicolas " a été évoqué le personnage de Hellequin, le roi " sauvage " qui évolua en se dédoublant en St-Nicolas et Père Noël.
Le sapin : Arbre toujours vert aux "feuilles" persistantes, typique de nos régions, il était depuis longtemps un signe de vie éternelle et de victoire sur les ténèbres. La tradition 1'avait déjà fixe en 800, même si la première description ne date que de 1521.
Le gui : Plutôt attaché au Nouvel-An, son origine druidique est évidente.
Le repas de Noël était de tradition solsticiale chez les Teutons.
La bûche : Actuellement gâteau, c'est un rappel. de la bûche qui brûlait pendant la veillée et dont on recueillait les cendres car elles avaient des propriétés merveilleuses.
Les cadeaux : La coutume de s´offrir des cadeaux vient des Saturnales romaines.
La rose de Noël : L´hellébore noire est cette plante dont les feuilles refuges flamboyantes rappellent le feu et la. légende des plantes et buissons qui se mettaient à fleurir quand "renaît" le soleil.
D'autres éléments magiques proviennent des anciens récits populaires où 1'heure de minuit, heure des miracles, transforme tout événement insignifiant en quelque chose de particulier : 1'eau des puits se change en vin, les cloches souterraines se mettent à sonner, les abeilles vocalisent dans les ruches et les brebis s´agenouillent, les chevaux et les vaches parlent ensemble.
La crèche de Noël : Expression d'art local, elle rappelle ces représentations simplistes qui se jouaient devant 1'eglise. La messe sera. progressivement suivie d'une fête à domicile, et la représentation passera graduellement sur les fresques, les peintures et bientôt en 3 dimensions sous forme des crèches dans la maison.
Les chants de Noël aussi reprennent souvent la grande liberté des chants populaires et l'on y entend parfois des retours aux sources païennes, et toujours le rappel des hivers d'Europe occidentale quel que soit le lieu du monde où on les chante.
Le chant de Noël, par excellence, le "Stille Nacht" lui-même fut crée en 1818, en Allemagne, à Oberndorf, village de montagne isolé. Il fut composé par 1'instituteur en chef Franz Xavier Gruber et le jeune ecclésiastique Joseph Mohr qui voulaient créer une mélodie de circonstance pour leur village. Ils 1'accompagnèrent à la guitare, car les orgues de leur petite église étaient essoufflées. En langage moderne, ce chant a tous les éléments d'un "tube", paroles simples, simplification des événements, répétition de la dernière phrase à chaque couplet et mélodie agréable à 1'oreille qui transmet la solitude et le sentiment d'attente imaginable en ce lieu perdu et à cette époque.
Le 22 décembre 1993 le pape Jean Paul II reconnaît que le 25
décembre est une fête païenne. Il déclara:"Chez les païens de l'Antiquité,
on célébrait l'anniversaire du soleil invincible, ce jour-là afin qu'il
coïncide avec le solstice d'hiver. Il a semblé logique et naturel pour les
chrétiens de remplacer cette fête par celle du seul Soleil véritable: Jésus-Christ ".
Avec la déconfessionnalisation progressive de notre société, Noël devient
une belle fête du milieu de 1'hiver, sans portée religieuse, et redevient la
fête païenne qu'elle est, particulièrement, dans notre société qui reste encore
de consommation. Certains, retournant aux traditions, fêtent le solstice le 21
décembre.
D'autres prennent le meilleur dans les habitudes existantes et voient
Noël comme une fête de famille et de chaleur humaine.
Mais tous voient dans cette fête, quelle qu'en soit la date exacte, un moment
de tolérance, de paix et de fraternité. Pour tout individu, quels que soient sa
croyance, son sexe, " sa race " ou ses opinions, les
laïques espèrent la paix sur la terre par les hommes de bonne volonté.
from :
www.livres-religieux.com/N/Noel25-7/Noel25-7.html
Noël… Le 25 Décembre ou le 7 Janvier? (Par Diacre Ikladius Ibrahim. Revision et Présentation par Son Eminence Anba Matthaüs, L'Evêque Général)
Chapitre I: Ou est né le Christ?
Chapitre II: Quand est né le Christ?
Chapitre III: La Célébration de
la Nativité
Le 25 Décembre
ou le 7 Janvier?
D.
Le Calendrier de Jules César
Comment
rendre de nouveau la date de la célébration de la Nativité unique?
Chapitre IV: Traditions de la
Célébration de Noël à l'Occident
Premièrement:
Papa Noël (Santa Claus)
Deuxièmement: Le
Sapin de Noël: Christmas Tree
Troisièmement:
Célébrer la fête la veille: "La veille de Noël", "Christmas
Eve" (fin)
Introduction du Site N Livres sur l'Eglise
Copte et ses Rites
www.webstore.fr/vvv/cathhh/noel.htm
Au IIe siècle de notre ère, on avançait pour la naissance
de Jésus les dates suivantes : 6 janvier, 28 mars, 18 ou 19 avril, 29 mai etc.
C'est seulement en l'an 354 qu'en Occident la
chrétienté célébra pour la première fois la "naissance" de Jésus, le
25 décembre. Les orthodoxes fêtent encore la nativité le 6 janvier.
Pourquoi le 25 décembre?
Le 25 décembre est le jour du solstice d'hiver
(jour le plus court de l'année) . C'est le jour de la naissance du dieu Mithra.
C'est dans le but de supplanter le culte de Mithra que le 25 décembre devenait
la date de la naissance de Jésus.
Quelques faits :
-La première messe de minuit fut célébrée à Rome
en 431. Mais ce ne fut qu'au XI e siècle que l'usage se répandit en France.
-La crèche dans les églises remonte à l'an 1223,
à la suite de la présentation d'une pièce de théâtre montée par saint François
d'Assise.
-C'est au XIIe siècle que les trois personnages
reçurent leur nom : Gaspar, Melchior et Balthazar.
-A partir du XIVe siècle, on les différencie par
la couleur de leur peau : Gaspar, Melchior ( le noir) et Balthazar.
-La grotte où Jésus est né se trouve aujourd'hui
dans la crypte de la basilique de
-L'origine de l'arbre de Noël remonterait à
-Le sapin est d'origine germanique. Il remonte à
la fin du 15 e siècle. Ce n'est qu'au XIXe siècle qu'il a été adopté en France.
-Le père Noël n'est que le mythique saint
Nicolas des pays scandinaves. Saint Nicolas était surnommé l'ami et venait,
croit-on, la nuit déposer des cadeaux. Les hollandais amenèrent la légende de
saint Nicolas à new York au XVIIe siècle. Puis le nom de saint Nicolas a été
déformé par les enfants américains en "sinter Klass" et" Santa
Claus". Cependant en 1966, le pape Paul VI révoqua saint Nicolas ( Santa
Claus , père Noël) du calendrier liturgique ! Ce qui n'empêche que les
prétendus reliques du dit saint se trouvent encore dans le local du Centre
d'Etudes sur saint Nicolas à Bari en Italie ("
-Le costume rouge et blanc du père Noël a été
réalisé par le dessinateur new-yorkais Thomas Nast en 1863. Mais c'est par une
campagne publicitaire agressive en 1930 que la compagnie Coca Cola (Coke) a
imposé au monde l'allure du père Noël actuel (bedonnant).
-Le traîneau du père Noël est une invention d'un
autre new-yorkais, le théologien protestant Clement Clark Moore (un
esclavagiste) vers 1822 . Il est l'auteur d'un poème" de Noël
"popularisé".
-La première carte de Noël date de 1843 et est
apparue en Angleterre.
- Le petit renne au nez rouge, Rudolph, a été
inventé à Chicago en 1939 par Montgomery Ward and Company, compagnie de la
vente au détail sur commande.
Enfin c'est en 1752 seulement que le saint Sylvestre eut le privilège de terminer l'année; jusque-là, cet honneur était réservé à saint Gabriel (fêté maintenant le 24 mars ).
Encore plus fort :
1- Le 22 décembre 1993 le pape Jean Paul II
reconnaît que le 25 décembre est une fête païenne. Il déclara:"Chez les
païens de l'Antiquité, on célébrait l'anniversaire du soleil invincible, ce
jour-là afin qu'il coïncide avec le solstice d'hiver. Il a semblé logique et
naturel pour les chrétiens de remplacer cette fête par celle du seul Soleil véritable:
Jésus-Christ ".
http://vvv.webstore.fr/cathhh/ch6.htm
· EXAMEN HISTORIQUE
Aux IIème au IVème siècles figurent les premières commémorations des
martyrs. A la fin du IIème siècle, le jeûne devient obligatoire pour le
vendredi saint (40heures), instauré par Tertullien. Puis peu à peu on commence
à mettre à part le mercredi et le vendredi pour le jeûne. Au IIème siècle, on
commence à commémorer les martyrs. Au IIIème siècle, Noël est fêté le 25
décembre (fête païenne du solstice d'hiver). En 306-337 Constantin fait du
Dimanche un jour de repos. En 325, le premier concile de Nicée fixe la fête de
Pâques au premier dimanche de la pleine lune qui a lieu le jour de l'Equinoxe
de printemps. En fonction de cette date seront fixées les autres fêtes
"mobiles" : les rameaux 7 jours avant Pâques, l'ascension 40 jours
après Pâques,
· EXAMEN BIBLIQUE
· Nouveau !: la vérité sur la fête de Noël : fichier rtf à télécharger
· Les origines de la fête de Noël
· Le Père Noël versus le Seigneur Jésus-Christ
· Un Chrétien Devrait-il célébrer Noël?
· SBC, are urging its people to buy
"Resurrection Eggs"
· Douze raisons pour lesquelles je ne participe pas à la Pâques moderne
· L'histoire de la Saint-Valentin
Je suis très conscient, que la majorité des personnes, dans les milieux
chrétiens croient que la fête de Noël est associée à la naissance du Christ.
J'ai moi-même cru cela, dans un passé pas si éloigné. Cependant lorsque l'on
regarde les écritures, il est impossible que notre Sauveur soit né le 25
décembre, parce que
Voici un extrait du livre de Alexandre Hislop, intitulé Les deux Babylone, qui traite sur la fête de Noël
Noël et la fête de l'Annonciation
Les Deux Babylones,
Alexandre Hislop,
Librairie Éditions Fischbacher,
1972, Paris, p. 133-150
Si Rome est en effet
Les fêtes romaines sont innombrables; mais il en est cinq parmi les plus
importantes que nous pouvons mettre à part, ce sont : Noël, l'Annonciation,
Pâques,
Prenons d'abord la fête en l'honneur de la naissance du Christ ou Noël.
Comment se fait-il que cette fête ait été établie le 25 décembre? Il n'y a pas
dans l'Écriture un seul mot sur le jour précis de sa naissance, ou sur l'époque
de l'année où il naquit. Ce qui y est rapporté montre que quelle que soit
l'époque de sa naissance, ce ne peut avoir été le 25 décembre. Lorsque l'ange
annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux
pendant la nuit au milieu des champs. Sans doute, le climat de
Après avoir longuement et minutieusement examiné le sujet, il donne entre autres l'argument suivant : lors de la naissance de Christ, chaque femme, chaque enfant dut aller se faire enregistrer à la ville à laquelle ils appartenaient, et plusieurs avaient à faire de longues marches ; mais le milieu de l'hiver n'était pas propre à une pareille besogne, surtout pour les femmes et les enfants. Christ ne peut donc pas être né au milieu de l'hiver. De plus, à l'époque de sa naissance, les bergers veillaient avec leurs troupeaux pendant la nuit, et cela ne pouvait se faire au milieu de l'hiver. Et si quelqu'un pense que l'hiver n'est pas rigoureux dans ce pays, qu'il se rappelle les paroles de Christ dans l'Évangile : Priez que votre fuite n'arrive pas en hiver. Or, si l'hiver était une mauvaise saison pour fuir, ce n'était assurément pas une saison où les bergers pouvaient demeurer dans les champs, où les femmes et les enfants pouvaient voyager. Les écrivains les plus instruits et les plus sincères de tous les partis reconnaissent que l'on ne peut pas déterminer le jour de naissance de notre Seigneur, que dans l'église chrétienne on n'entendit jamais parler d'une fête pareille avant le III siècle, et qu'elle ne fut guère observée que bien avant dans le IV SIÈCLE. Comment donc l'Église Romaine a-t-elle fixé au 25 décembre la fête de Noël? En voici la raison : longtemps avant le IV siècle, et même bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette même époque de l'année, en l'honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne; or on peut présumer que pour se concilier les païens, et augmenter le nombre de ceux qui adhéraient de nom au christianisme, la même fête fut adoptée par l'Église Romaine qui se contenta de lui donner le nom de Christ. Cette tendance de la part des chrétiens à faire des concessions au paganisme se développa DE BONNE HEURE; et nous voyons Tertullien lui-même, vers l'an 230, déplorer amèrement la faiblesse des chrétiens à cet égard, et l'opposer à la stricte fidélité des païens à leur propre superstition : « C'est nous, dit-il, nous qui sommes étrangers aux sabbats, aux nouvelles lunes, et aux fêtes, nous qui étions autrefois agréable à Dieu, c'est nous qui fréquentons maintenant les Saturnales, les fêtes du solstice d'hiver, les Matronales; on porte çà et là des présents, les cadeaux du nouvel an se font avec fracas, les jeux, les banquets se célèbrent avec des cris; oh! comme les païens sont plus fidèles à leur religion; comme ils prennent soin de n'adopter aucune solennité chrétienne! » Des hommes vertueux s'efforcèrent d'arrêter le flot, mais en dépit de tous leurs efforts, l'apostasie se développa, jusqu'à ce que l'Église, à l'exception d'un petit reste, fut engloutie sous la superstition païenne.
Il est hors de doute que Noël était à l'origine une fête païenne. Ce qui le
prouve, c'est l'époque de l'année où on la célèbre et les cérémonies qui
l'accompagnent. En Égypte, le fils d'Isis, titre égyptien de la reine des
cieux, naquit à cette même époque, au moment du solstice d'hiver. Le nom même
sous lequel Noël est populairement connu en Angleterre le jour d'Yule prouve
tout de suite son origine païenne. Yule est le nom chaldéen pour « enfant,
ou petit enfant »; et comme le 25 décembre était appelé par les anciens païens
saxons le jour « d'Yule » ou « le jour de l'Enfant » et la
nuit qui le précédait « la nuit de
Les Sabéens d'Arabie, qui regardaient la lune et non le soleil comme le
symbole visible de l'objet favori de leur culte, observaient la même époque
comme la fête de la naissance. Nous lisons dans
Or, Hogmanay en Chaldéen veut dire « la fête de celui qui compte »
- en d'autres termes, la fête de deus Lunus ou de l'homme de
Là même où le soleil était l'objet favori du culte, comme à Babylone et
ailleurs, il était adoré à cette fête, non seulement comme le globe du jour,
mais comme le dieu incarné. C'était un principe essentiel du système
Babylonien, que le soleil ou Baal était le seul Dieu. Lors donc qu'on adorait
Tammuz comme étant le Dieu incarné, cela voulait dire aussi qu'il était une
incarnation du soleil. Dans la mythologie Indoue, qui, on le sait, est
essentiellement Babylonienne, ce fait ressort distinctement. Surya, ou le
soleil, y est représenté comme étant incarné, et venant dans le monde pour
soumettre les ennemis des dieux qui, sans cette naissance, n'auraient jamais
été soumis.
Ce n'était donc pas une fête astronomique que les païens célébraient au
solstice d'hiver. Cette fête s'appelait à Rome la fête de Saturne, et la
manière dont on la célébrait montre bien son origine. Organisée par Caligula,
elle durait cinq jours. L'ivrognerie et la débauche se donnaient libre
carrière, les esclaves étaient provisoirement émancipés, et avaient avec leurs
maîtres toute sorte de libertés. C'était précisément de cette manière qu'on
célébrait à Babylone, suivant Berose, la fête du mois Thebeth, correspondant à
notre mois de décembre, ou en d'autres termes, la fête de Bacchus : c'était
l'usage, dit-il, pendant les cinq jours qu'elle durait, que les maîtres fussent
soumis à leurs serviteurs, et que l'un d'eux, vêtu comme un roi d'une robe de
pourpre, gouvernât la maison. On appelait ce domestique ainsi vêtu, Zoganes,
l'homme du plaisir et de la dissipation; il correspondait exactement au
« dieu du tumulte » qui dans les époques de ténèbres, fut choisi dans
tous les pays catholiques pour présider aux fêtes de Noël. La coupe des festins
de Noël a son contre-pied dans « le festin de l'ivresse » à Babylone,
et plusieurs autres coutumes encore observées à Noël ont la même origine. Les
bougies qu'on allume la veille de Noël, dans quelques parties de l'Angleterre,
et qu'on garde pendant toute la durée des fêtes, étaient aussi allumées par les
païens la veille de la fête de la naissance du dieu Babylonien et en son
honneur; car c'était l'une des particularités de son culte d'avoir des bougies
allumées sur ses autels. L'arbre de Noël, si connu aujourd'hui parmi nous,
était aussi connu dans
L'arbre de Noël, comme on l'a déjà vu, était ordinairement à Rome un arbre
différent, c'était le sapin; mais le palmier rappelait la même idée que le
sapin de Noël; car il symbolisait mystérieusement le dieu né de nouveau,
Baal-Berith, le Seigneur de l'alliance, et ainsi témoignait de la perpétuité et
de la nature de son pouvoir, maintenant qu'après avoir succombé sous ses
ennemis, il s'était élevé en triomphe au dessus d'eux. Aussi le 25 décembre,
jour qu'on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu
sur la terre, était-il considérer comme « Natalis invicti solis », le
jour de naissance du soleil invaincu. Or, la bûche de Yule est le tronc mort de
Nemrod, déifié comme dieu-soleil, mais renversé par ses ennemis; l'arbre de
Noël est Nemrod redivivus, le
dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie. À la lumière jetée par ce fait sur
les coutumes qui persistent encore en Angleterre, et dont l'origine s'est
perdue au milieu d'une antiquité reculée, que le lecteur considère la
singulière pratique encore en usage dans le sud la veille de Noël, celle de
s'embrasser sous la branche de Gui. La branche de gui, dans la superstition
druidiques, qui nous l'avons vu, venait de Babylone, était une représentation
du Messie, l'homme-branche. Le gui passait pour une branche divine, une branche
qui venait du ciel et poussait sur un arbre qui sortait de la terre. Ainsi en
greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre que le
péché avait séparés, étaient réunis, et ainsi la branche de gui devint le gage
de la réconciliation de Dieu avec l'homme; le baiser en effet, est le gage bien
connu du pardon et de la réconciliation. D'où pouvait venir une pareille idée?
Ne serait-ce pas du Psaume 85:10 et 11 : « La grâce et la vérité se sont
rencontrées; la justice et la paix se sont entrebaisées; la vérité jaillira de
la terre (à cause de la venue du Sauveur promis) et la justice regardera du
haut des cieux » ? C'est possible; mais il est certain que ce psaume fut
écrit bientôt après la captivité de Babylone, et comme des foules de Juifs,
après cet événement, demeuraient à Babylone sous la direction d'hommes
inspirés, comme Daniel, il doit leur avoir été communiqué comme partie de
Dans bien des pays, on sacrifiait au dieu un sanglier pour expier l'injure
que, d'après la légende, un sanglier lui avait faite. Suivant une version de
l'histoire de la mort d'Adonis, ou Tammuz, ce dieu mourut de la blessure faite
par la dent d'un sanglier. La fable raconte que le Phrygien Attes, le bien-aimé
de Cybèle, dont l'histoire était identifiée à cette d'Adonis, mourut de la même
manière. Aussi Diane qui, représentée ordinairement dans les mythes populaires
comme une chasseresse, était en réalité la grande mère des dieux, a-t-elle
souvent près d'elle une tête de sanglier, non pas en signe d'une chasse
heureuse, mais bien de triomphe, sur le grand ennemi du système idolâtre dans
lequel elle occupait une place si importante. D'après Théocrite, Vénus se
réconcilia avec le sanglier qui tua Adonis, parce que le jour où on l'amena
enchaîné à ses pieds, il se défendit éloquemment, en disant qu'il n'avait point
tué son époux par méchanceté, mais simplement par accident. Cependant, en
souvenir de la mort causée par le sanglier du mythe, plus d'un sanglier perdit
sa tête ou fut offert en sacrifice à la déesse irritée. Smith nous représente
Diane avec une tête de sanglier auprès d'elle, au haut d'un monceau de pierre,
dans la gravure ci-contre où l'on représente l'empereur Trajan brûlant de
l'encens à cette même déesse, et où la tête du sanglier est très apparente. Le
jour de Noël, les Saxons du continent offraient un sanglier en sacrifice au
soleil pour se rendre propice cette déesse, à cause de la perte de son bien-aimé
Adonis. À Rome il y avait une coutume semblable; le sanglier formait le centre
principal de la fête de Saturne.
C'est pour cela que la tête du sanglier est encore un plat important en
Angleterre aux dîners de Noël, alors que la raison en est depuis longtemps
oubliée. Bien plus, l'oie de Noël et les gâteaux de Yule, étaient des articles
essentiels du culte du Messie Babylonien, tel qu'il était pratiqué en Égypte et
à Rome. Wilkinson, parlant de l'Égypte, nous apprend que l'offrande préféré
d'Osiris était une oie, et de plus que l'oie ne pouvait se manger que dans le
coeur de l'hiver. À Rome, nous dit Juvénal, si l'on offensait Osiris, on ne
pouvait l'apaiser que par une belle oie et un gâteau mince.
Dans bien des pays, nous en avons la preuve, l'oie avait un caractère sacré.
On sait fort bien que le Capitole de Rome fut sauvé, au moment où les Gaulois
allaient le prendre au milieu de la nuit, par les cris des oies sacrées de
Junon qu'on gardait dans le temple de Jupiter. Dans l'Inde, l'oie occupait une
position semblable; ou des oies consacrées à ce dieu. Enfin les monuments de
Babylone nous apprennent que l'oie avait en Chaldée un caractère mystique, et
qu'on l'y offrait en sacrifice aussi bien qu'à Rome ou en Égypte, car on y voit
le prêtre tenant dans une main une oie, et dans l'autre son couteau de
sacrifice. Il n'y a donc pas à douter que la fête païenne du solstice d'hiver,
en d'autres termes, Noël, ne fût observée en l'honneur du Messie Babylonien.
Si nous passons maintenant à la grande fête suivante du calendrier romain,
nous avons la confirmation de ce qui vient d'être dit. Cette fête, appelée
l'Annonciation, se célèbre à Rome le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la
conception miraculeuse de notre Seigneur dans le sein de
Ainsi a dit l'Éternel : N'apprenez pas
les façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des cieux, parce
que les nations les craignent. Car les statuts des peuples ne sont que vanité.
On coupe le bois dans la forêt; la main de l'ouvrier le travaille à la hache;
On l'embellit avec de l'argent et de l'or; on le fixe avec des clous et des
marteaux, pour qu'il ne vacille point. Jérémie 10:2-4
Ceci ne ressemble t-il pas à un arbre de Noël. Les principes sont les mêmes.
Le Seigneur nous dit : Car les statuts des
peuples ne sont que vanité...Qui ne te craindrait, roi des nations? Car cela
t'est dû. Car parmi les plus sages des nations et dans tous leurs royaumes, nul
n'est semblable à toi. Ils sont tous ensemble abrutis et insensés. Ce bois
n'enseigne que vanités. Jérémie 10:3,7
Nous devons donc nous faire une idée, allons-nous suivre les traditions ou les écritures? Mais la vérité est que, comme enfants nés de nouveaux, nous devons sans cesse nous rappellé: N'apprenez pas les façons de faire des nations.
http://vvv.webstore.fr/cathhh/noel.rtf :
La fête de Noël célèbre-t-elle
véritablement le jour de la naissance de Jésus ? Jésus est-Il né un 25 décembre ? On fête à l'heure actuelle
En plus de cela, au mois de mars,
les soldats du grand-prêtre juif devaient se chauffer au feu, parce qu'il
faisait trop froid (Jean.18 : 18). Comment les
bergers auraient-ils pu alors passer la nuit dans les champs durant le
mois de décembre ?
Pourquoi
Les évêques romains, incapables
d'arracher cette joyeuse solennité, en changèrent l'objet. Au lieu de célébrer
le soleil naissant on célébra en ce jour la naissance de Jésus, qui est
"le soleil de Justice" (Malachie.4 : 2) et la "lumière du
monde" (Jean.9 : 5). Léon-le-Grand, évêque de Rome, blâmait les chrétiens
qui, encore au 5ième
siècle, célébraient "la naissance du soleil au lieu de la naissance du
Christ". (Sermo de Nativitate Domini, Patrologie Latine, 54, 198). La tradition
de
LES DEUX
ANIMAUX DEVANT
Cette légende commença au sixième
siècle, quand l'évangile faussement attribué à Matthieu "ce n'est pas
l'évangile de
Comment pouvait-on savoir au sixième
siècle qu'il y avait ces deux animaux auprès de la crèche de Jésus ? Encore une fois c'est par une fausse
interprétation de
Le surnommé évangile apocryphe,
oubliant le contexte, y a voulu voir une prophétie de Jésus, et a conclu que
près de la crèche de l'enfant Jésus il y avait un âne et un boeuf, qui ont
reconnu en Jésus leur créateur et maître.
En quelle année somme-nous ? Vous
me répondrez : "Tout le monde sait que nous sommes en l'an 1998, ce qui
signifie que Jésus Christ naquît il y a 1998 ans". En réalité cette date
traditionnelle est le fruit d'une erreur qui fut commise par Denis-le-Petit, un
moine qui, le premier, voulut dater les années en commençant par la naissance
de Jésus. Il a placé cette naissance en l'an 754 de Rome, année à laquelle le
roi Hérode était déjà mort. Or, nous savons par
D'OÙ VIENT
LE PÈRE NOËL.
Est-il une créature issue du
paganisme ?
Eh oui ! Et son vrai caractère est
fort éloigné de la bienveillance et de la sainteté que beaucoup de gens
lui prêtent ! Le Père Noël ou Saint
Nicolas était un évêque catholique romain, qui
vécut au 4ième siècle de notre ère. Consultez le dictionnaire encyclopédique "Larousse du 20ième siècle". Il est intéressant de
noter aussi ce qu'en dit l'Encyclopédie Britannique, Vol.19, pages 648-9, (11ième édition) : "St.Nicolas évêque
de Myre... un saint honoré le six décembre par les Grecs et les Latins.
La légende rapporte qu'il donna
clandestinement des dots aux trois filles d'un citoyen appauvri... Et, dit-on,
c'est là l'origine de la vieille coutume de faire secrètement des cadeaux le
soir de
Toute l'année, les parents punissent
leurs enfants lorsqu'ils ne disent pas la vérité. Toutefois, au moment de Noël,
eux-mêmes disent des mensonges à leurs enfants en ce qui concerne le "Père
Noël" ! Faut-il s'étonner si, lorsque les enfants grandissent et
apprennent qu'ils ont été trompés, perdre confiance en leurs aînés et en
viennent à croire que Dieu aussi n'est qu'un mythe ? Un petit garçon, triste et
déçu à propos du "Père Noël" disait à un camarade : "Oh oui ! Je
m'en vais aussi tirer au clair cette histoire de Jésus-Christ !".
QUE DIT
Pour trouver le mois de la naissance
de Jésus, il nous faut remonter à l'Exode chapitre 12 lorsque Dieu institua
Dans (1 Chronique.24 : 7-18) nous lisons
qu'il y avait 24 classes de sacrificateur et que Zacharie était de la 8ième classe. Donc chaque sacrificateur
servait dans le temple deux semaines puis on le remplaçait. Zacharie se trouva
donc dans le temple au milieu du mois de Juillet, et c'est quelque temps après
que sa femme tomba enceinte c.a.d fin Juillet, et se cacha pendant cinq mois.
Au sixième mois (de grossesse)
d'Élisabeth, l'ange Gabriel annonça à Marie quelle deviendrait enceinte et sur cette déclaration Marie partie
retrouver sa cousine Élisabeth et la salua, dès qu'Élisabeth entendit la
salutation de Marie, son enfant tressaillit dans son sein... Elle
s'écria d'une voix forte : Tu es bénie entre toute les femme et le fruit de ton
sein est béni (Luc.1 : 26-42).
Marie devint donc enceinte
exactement cinq mois après sa cousine Élisabeth. Maintenant faisons le calcul :
Fin juillet Élisabeth devint enceinte, cinq mois après c.a.d fin décembre début
janvier Marie devint enceinte, si nous comptons les neuf mois de grossesse de
Marie, nous nous retrouvons fin septembre
début octobre, ce qui coïncide parfaitement avec le récit de Luc qui nous dit
qu'à la naissance de Jésus il y avait des bergers qui veillaient la nuit sur
les montagnes où ils gardaient leurs troupeaux (Luc.2 : 8). Dans
(Esdras.10
: 9-13) "le neuvième mois = décembre" au calendrier juif "Adam
Clarke's Commentary", Vol. V, page 386.
Voilà la vérité en ce qui concerne
A M E N.
Noël représente le verdissement d'un
tronc mort qui symbolisait la résurrection de Nimrod à Babylone. Coutume
devenue égyptienne et universelle. Quant à la fête de Noël, il s'agit d'une
fête païenne, qui n'a rien à voir avec la naissance de Jésus. Il s'agit d'un
dictât honteux du Vatican datant du Concile de Nicée en 330 de notre ère.
Le 25 décembre est en effet une fête
païenne (Jour Natal du Soleil Invaincu), fête consacrée à la divinité MITHRA
(Le Dieu de
Lors des débuts de l'Église, il n'y
avait pas de Noël... " nous révèle le " Catholic Encyclopedia
Dictionary "Noël est en fait le Dies Natalis Solis Invicti. (Jour du
soleil invincible). Adoration du Dieu Soleil Perse Mithra, dont l'anniversaire
était souhaité le 25 décembre. Adoration du retour du soleil après l'hiver. Le
nouveau soleil des chrétiens étant le Christ, les premiers chrétiens adoptèrent
cette fête en tant que Noël. Dont
l'origine remonte à l'an 354 après .j.-C.LE SAINT APUREMENT POUR
La montée du catharisme amenèrent
les papes et les souverains à appliquer la peine de mort à ceux qui, une fois
arrêtés et jugés, persévéraient dans leurs erreurs. Les autorités
ecclésiastiques, dans ce cas, ne se chargeaient pas de l'exécution de la
sentence proprement dite, mais remettaient les coupables au pouvoir
gouvernemental pour qu'il leur infligeât le châtiment suprême, qui consistait,
en général, à les brûler vifs. La croisade contre les albigeois de 1209 fut
marquée par de terribles épisodes de violence.
L'armée des croisés, placée sous le commandement
de l'abbé de Citeaux, Arnaud et du comte Simon de Montfort, massacra en
particulier une partie de la population de Béziers, et à cette occasion, de
nombreux cathares furent brûlés vifs. Le Concile de Toulouse, en 1229, codifia
la répression de l'hérésie en stipulant que ceux qui donneraient l'asile aux
parfaits (Cathares) perdraient leurs biens, et que les maisons des cathares
seraient détruites. Aux hérétiques repentants on ferait grâce de la vie, mais
de lourdes pénitences leur seraient imposées. (Grandes chroniques de
Saint-Denis. Toulouse, Bibl. munici., ms. 512 F°251.)
Parmi les devoirs qui incombaient
aux souverains, dans la chrétienté médiévale, figurait en premier lieu la
défense de la foi et la sauvegarde de son intégrité. Au 13ème siècle, le
problème revêtait une acuité particulière avec les progrès de la dissidence
religieuse, et l'Empereur Frédéric II lui-même fut le premier en 1221, à
promulguer des constitutions prévoyant la peine de mort pour les hérétiques.
Saint Louis fut le prince chrétien qui manifesta le plus de zèle pour faire
appliquer cette législation. Le recours à la dénonciation et, après 1250, à la
torture, l'emmurement - ou la prison à
vie, la confiscation des biens et la destruction de leurs maisons, tout cela
créa un climat de .... texte
perduexterminés et leurs provinces dévastées. L'inquisition instituée par le
Concile de Vérone en 1183 et réorganisée en 1233 par le Pape Grégoire IX
s'abattit sur l'Europe, cultivant la délation et multipliant les tortures et
les bûchers. D'où vient l'autorité du Pape ? Les évêques romains se sont
déclarés comme étant la suite apostolique, la pérennité de Pierre à qui Jésus
avait confié la tâche de créer l'Église véritable. ( les versets à l'appui de
cela ne figurent cependant pas dans les copies les plus anciennes de
Pourtant Jésus (qui n'a rien à voir
là-dedans), déclare quant à Lui :" Vous rejetez mes paroles au profit de
votre tradition ".Le clergé
proclame que le très saintissime et infaillible Magistère Ecclésiale a le
devoir et la prérogative d'interpréter de façon " authentique " la
parole de Dieu, écrite ou transmise.Cette autorité qui aurait été conférée par
Jésus-Christ, par l'entremise de Pierre, confère aux évêques, en communion avec
le successeur de Pierre, (le Pape à Rome), toute autorité en matière religieuse
! DV 10.Jour du Seigneur (Samedi).Le très saintissime Magistère a changé le
jour du sabbat (samedi) et a rendu obligatoire le dimanche. Des millions de
chrétiens fidèles à
Pourquoi le Dimanche ? Parce qu'il
s'agit d'une ancienne fête du Dieu Soleil. (Il y a donc plusieurs Dieux ?)
Jésus étant ressuscité des morts le premier jour de la semaine ce jour est donc
devenu le jour du seigneur ! Jésus a
demandé de ne pas célébrer sa résurrection, mais sa mort ! Le Saint Magistère
déclare " Nous nous assemblons le jour du soleil parce que c'est le
premier jour où Dieu, tirant la matière des ténèbres, a crée le monde (sic) et
que, ce même jour, Jésus-Christ, notre Sauveur ressuscita d'entre les morts.
" Décret de Saint Ignace d'Antioche. La papauté déclare : " Le
Dimanche et les autres jours, les fidèles sont tenus par l'obligation de
participer à la messe. " CIC, Can.1247. L'Eucharistie du dimanche fonde et
sanctionne toute la pratique " chrétienne ". Ceux qui délibérément
manquent à cette obligation commettent un péché grave "" Nous nous
déclarons investis du pouvoir suprême de lier et de délier (c'est-à-dire en
fait, de décider de tout, sans appel). Nous prononçons des jugements doctrinaux
et prenons des sanctions disciplinaires dans l'église (Même avec peu
d'imagination, on se représente bien ce que sont les punitions en question, qui
dépendant du contexte politique et historique). Jésus a confié cette autorité à
l' église par le ministère des apôtres et particulièrement de Pierre, le seul à
qui il a été confié explicitement les clefs du Royaume " " les âmes
saintes qui attendaient dans le sein d'Abraham (tombe) leur libérateur (Christ)
furent libérées par Lui lorsqu'il descendit dans la tombe ". Dogme CC
Tolède IV en 625.
Le Pape, Représentant de Dieu sur terre, Pontife
romain, Vicaire du Christ, Très Saintissime Père (Au fait pourquoi Dieu ne se
déclare t-il que Père, sans ajouter 'très saint') Pasteur de l'Église etc. etc.
possède un pouvoir plénier, suprême et universel qu'il peut en permanence
exercer. Lumen Gentium 22. CD 2;9 "
Pour maintenir l'Église dans la pureté de la foi transmise par les apôtres, le
Christ a voulu conférer à son Église une
participation a sa propre infaillibilité, Lui qui est la vérité " Lumen Gentium 12;DV10" Du fait de cette
infaillibilité, le Souverain Pontife Romain jouit, du fait de sa charge, quand
il proclame, par un acte sans appel, un point de doctrine touchant la foi et
les moeurs, exerçant ainsi son Magistère Suprême en union avec le successeur de
Pierre, surtout dans un concile oecuménique " LG Vatican I DS3074."
Lorsque par son Magistère Suprême, l'Eglise propose quelque chose à croire
comme étant révélé par Dieu et comme étant enseignement du Christ - il s'agit
d'une vérité comme venant de la bouche de Dieu " DV10. (Si !)" Cette
infaillibilité s'étend à la révélation divine " LG 25. " A cet
enseignement, les fidèles doivent donner l'assentiment religieux de leur esprit
". Lumen Gentium 25 " Les évêques ont un pouvoir sacré " Lumen
Gentium N° 27 ( Décret du Vatican).Le Christ - quant à Lui, réprouve l'autorité
apostolique. Il dit que dans un gouvernement les chefs commandent et croient
faire le bien en ce faisant, mais que parmi les apôtres et les disciples, il ne
doit pas en être ainsi !Dogme du purgatoire :l'Église a formulé la doctrine du
purgatoire aux conciles de Florence DS 1304-1820 en s'appuyant sur I Cor 3:15
et I Pierre 1:7. Or, même un profane s'aperçoit que les versets en question
n'ont aucun rapport. De toute façon, il n'y a pas deux purgatoires. Après la
terre, il n'y en pas d'autre ( humour).----Dieu dit qu'il faut l'adorer en
esprit et non pas en images. Mais l'église de Rome déclare que " le culte iconographique est préconisé. Qu'adorer
une image du Christ, c'est adorer celui que l'image représente ".Saint
Jean Pasco écrivait :... " Le Pape est Dieu sur terre... Jésus a placé le
Pape au dessus des prophètes... au dessus du Précurseur, au dessus des Anges.
Jésus a placé le Pape au niveau même de Dieu. ".
Il n'y a aucune
confirmation biblique, précédente, ou instruction indiquant que nous devons
commémorer le jour de la naissance du Christ comme un jour de célébration
religieuse. Ceci ne veut pas dire que nous ne devons pas nous souvenir de la
naissance du Christ et sa signification, mais pour une commémoration ou
célébration religieuse, il faut avoir l'autorisation ou l'instruction de
Ce qui suit décrit
l'origine de Noël (avec ses coutumes, symboles, et terminologie), détaille le
support des Saintes Écritures contre la célébration de Noël, tente à montrer
que célébrer Noël viole l'esprit de chacun des dix commandements, tente à
démontrer que célébrer Noël ne tombe pas dans le régime de la liberté Chrétienne,
et tente à démentir huit des rationalisations majeures que des Chrétiens ont
mit de l'avant pour célébrer Noël.
Une Longue
Évolution -- Les coutumes de Noël sont une évolution d'un temps très loin avant
la période des Chrétiens -- une descendance de pratiques saisonnières,
païennes, religieuses, et nationaux, avec légende et tradition. Leurs
connections saisonnières avec les festins de l'hiver solstice des païens, les
relies avec les temps anciens, quand les habitants de la terre adoraient le
soleil. Pendant que les païens superstitieux observaient le soleil bouger
graduellement vers le sud dans les cieux et voyaient les journées devenir plus
courtes , ils croyaient que le soleil disparaissait pour ne plus revenir. Pour
encourager le retour du soleil vers le nord (i.e., pour lui donner le pouvoir
de Dieu et pour le ramener à la vie), les Dieux du soleil étaient adorés avec
des rituels et des cérémonies élaborés, incluant bâtir de gros feux de camp,
décorer avec de grosses plantes vertes, et en faisant des représentations
d'oiseaux d'été comme décorations de maison. Le solstice d'hiver, à ce
temps-là, était le jour le plus court de l'année, quand le soleil semblait
immobile dans le ciel du sud. Observant le ralentissement dans le mouvement du
soleil vers le sud, et son arrêt, les païens croyaient que leurs pétitions
avaient réussit. Un temps de réjouissements non-restraints se produisait, avec
hommage, alcool, et des festins excessifs. Ensuite, quand les païens
observaient le soleil qui bougeait de nouveau vers le nord, et qu'une semaine
plus tard pouvaient déterminer que les journées devenaient plus longues, une
nouvelle année était proclamée.
- Noël ne faisait
pas parti des premiers festivals de l'église. Ce n'était pas célébré,
commémoré, ou observé, ni par les apôtres ou dans l'église apostolique -- pour
au moins les premières 300 années de l'histoire de l'église! L'histoire révèle
qu'en environ
- Apparemment
oublié est le rôle essentiel que la religion jouait dans l'ancienne Rome. Mais
l'Empereur Constantin comprenait. En donnant le statut officiel au
Christianisme, il apporta la paix interne à l'Empire. Un brillant commandant
militaire, il avait aussi le génie de reconnaître qu'après avoir déclaré le
Christianisme comme étant la religion de l'état (Constantin a forcé tous les
païens de son empire à être baptisés dans l'église romaine), il y avait un
besoin d'unir le paganisme et le Christianisme. L'église romaine corrompue
était remplie de païens maintenant mascaradant comme Chrétiens, qui tous
devaient être pacifiés. Quelle meilleure façon de "Christianiser"
leurs idolâtries païennes. Ainsi, les religions Babyloniennes mystérieuses fut
introduites par Constantin débutant en
- Les rituels
Païens et idoles prirent des noms Chrétiens (e.g., Jésus-Christ était présenté
comme le soleil de la divinité - Malachi 4:2 - remplaçant le Dieu du soleil Sol
Invictus).
Les fêtes Païennes
fût reclassifiées comme des fêtes Chrétiennes.
Le 25 décembre
était le Festival de la "Victoire du Dieu du Soleil" dans le monde
Babylonien des païens. Dans l'ancien Empire Romain, la célébration peut être
retracée jusqu'au festival Romain Saturnalia, qui honorait Saturne, le dieu de
la moisson, et Mithras, le dieu de la lumière; les deux; les deux étaient
célébrés pendant ou peu après l'hiver solstice (entre le 17 et 23 décembre).
Pour toutes les anciennes civilisations païennes, le 25 décembre était le jour
de naissance des dieux -- le temps de l'année où les jours commençaient à
allonger et l'homme était béni d'une "régénération de la nature". De
plus, tous les festivals Babyloniens et Romains du 25 décembre étaient
caractérisés de célébrations par périodes de 5-7 jours de réceptions et
dévergondage non-restraints ou orgiaques.
Le 25 décembre
était particulièrement important dans le culte de Mithras, une divinité
populaire dans le Vieil Empire Romain. Robert Myers (un souteneur pour célébrer
Noël) dans son livre Célébrations dit, "Avant la célébration de Noël, le
25 décembre dans le monde Romain était le Natalis Solis Invicti,
Afin de rendre
(De fait, en
- le Christianisme
a dû subir une transformation pour que Rome païen puisse "convertir"
sans pour autant abandonner ses anciennes croyances et rituels. L'effet actuel
était de paganiser le Christianisme officiel. "Une religion combinée avait
été fabriquée, de laquelle... le Christianisme fournissait la nomenclature, et
les doctrines et droits du Paganisme. L'idolâtrie dans le monde Romain, même
dépourvue de sa prééminence, n'avait sous aucuns moyens été démolie. Au lieu de
ceci, la nudité païenne fut couverte avec le costume d'une Christianité
déformée" (W.E. Vine). Les coutumes Païennes impliquant vêtements,
chandelles, encens, images, et processions étaient toutes incorporées dans
l'adoration de l'église et se poursuivent aujourd'hui même.
Les coutumes et
traditions suivantes associées avec Noël ont toutes des origines païennes.
("Noël" est la forme préférable pour ce jour, puisque au moins elle
laisse le nom de notre Sauveur hors de l'observation païenne.) Naturellement,
les Chrétiens ne gardaient pas ces coutumes pour de telles néfastes et
perverses raisons, mais le fait de leurs origines restent -- "les statuts
(coutumes) des peuples ne sont que vanité" (Jer. 10:3), et devraient de
cette façon être prudemment considérés par ceux qui connaissent et aiment le
Seigneur:
Le blasphématoire
"Messe de Christ" abrégé à "Christ-mas " (Noël) -- la
"Messe du Christ" est une messe spéciale exécutée en célébration de
la naissance du Christ. Dans cette messe Jésus est considéré comme prêtre et
victime, représenté par le prêtre Catholique qui l'offre en sacrifice chaque
fois que la messe est pratiquée. En offrant ce "sacrifice", le prêtre
croît avoir le pouvoir de changer le pain et le vin de
Scènes de Nativité
(teintées de paganisme) -- Presque toutes formes d'adoration païennes descendent
des mystères Babyloniens, qui dirigent l'attention sur la
"mère-déesse" et la naissance de son enfant. Ceci était adapté à
l'adoration "Marie-Jésus", lequel accommodait facilement la multitude
de païens "convertis" au Christianisme en dedans de l'Église
catholique romaine de Constantin. (Si quelqu'un érigeait des statues (i.e.
images) de Marie et Joseph par eux-mêmes, plusieurs en dedans des cercles
Protestants crieraient "Idolâtrie"! Mais pendant la période de Noël,
une image d'un petit bébé est placée parmi les images de Marie et Joseph, et ça
se nomme une " (scène de nativité)." D'une manière ou d'une autre,
l'idole-bébé "sanctifie" la scène, et ce n'est plus considéré comme
de l'idolâtrie! ) (cf. Ex. 20:4-5a; 32:1-5; 9-10a).
3. Arbre de Noël --
Les sapins verts, à cause de leur habilité à demeurer verts durant toute la
saison d'hiver quand presque toutes autres formes de végétation sont dormantes,
ont longuement symbolisé immortalité, fertilité, potentiel sexuel, et
reproduction, et étaient souvent apportés dans les demeures et érigés comme des
idoles.
La pleine
signification mystique du sapin peut être seulement comprise quand une personne
considère la vénération profonde que les anciens païens avaient pour tout
phénomène naturel -- "Pour eux,
La coutume
d'apporter l'arbre dans la demeure et le décorer comme on le fait aujourd'hui
est légendairement attribuée à Martin Luther. En vérité, la coutume moderne a
été perdue dans l'obscurité, mais presque toute culture a pareille tradition.
Pendant des siècles, le sapin fût apporté dans la maison durant l'hiver comme
symbole magique de chance et d'espoir pour une année fructueuse à venir. Ça
peut aussi être que l'étoile au sommet des arbres d'aujourd'hui n'est pas
originaire comme une représentation de l'étoile dont les rois mages suivirent,
mais plutôt une représentation des étoiles envers quoi les anciens astrologues
Chaldéens regardaient pour guidage.
La première
décoration d'un sapin a été faite par des païens en honneur de leur dieu
Adonis, qui après avoir été tué fût ramené à la vie par le serpent Aesculapius.
La représentation du décédé Adonis était la souche morte d'un arbre. Autour de
cette souche était enroulée un serpent -- Aesculapius, symbole de restitution à
la vie. De les racines de cet arbre mort, alors venait de l'avant un autre et
différent arbre -- un sapin vert, symbolique aux païens d'un dieu qui ne peut
mourir! À Babylone, le sapin représentait la naissance\réincarnation de Nimrod
comme son nouveau garçon (Sun)- (Soleil) Tammuz. En Égypte, ce dieu était adoré
dans un arbre palmier comme Baal-Tamar. (Les païens de Canaan aussi adoptèrent
l'adoration de l'arbre, l'appelant le Asherah -- un arbre avec ses branches
coupées était sculpté dans un symbole phallique.) Le sapin était adoré à Rome
comme le même dieu nouveau-né, nommé Baal-Berith, qui fût restitué à la vie par
le même serpent. Un festin eu lieu en son honneur le 25 décembre, observé comme
le jour dont le dieu est réapparut sur terre -- il fût tué, et est "né de
nouveau" en ce jour, victorieux sur la mort! C'était nommé "Fête du
Soleil invincible". Par conséquent, la coutume annuelle d'ériger et de
décorer les arbres fût apporté à travers les siècles par l'Église catholique
romaine païenne -- le paganisme de Tammuz et Baal, ou l'adoration du soleil,
mêlé avec l'adoration d'Aesculapius le serpent. Qu'il soit érigé dans les
maisons privées ou dans les églises, décoré ou pas, l'arbre est un symbole
flagrant de ce faux dieu.
4. Couronnes de
Noël -- Dans la mythologie païenne, arbre veut dire la vie éternelle et une
existence qui ne meurt jamais. Fait de sapins verts, les couronnes de Noël
étaient plus fréquemment rondes, qui symbolisaient le soleil (comme les
auréoles dans la plupart des arts religieux). Dorénavant, la forme ronde peut
être aussi reliée au signe de la femelle, qui représente la régénération de la
vie. À cause de ces associations païennes, l'église Chrétienne était au départ
hostile envers l'usage de couronnes et d'autres arbres dérivés. Mais de la même
manière elle Christianisait d'autres traditions païennes, l'église a vite
trouvé une manière de conférer ses propres significations symboliques. Par
exemple, les feuilles affûtées et pointues du houx "mâle"
représentait la couronne d'épines du Christ et les baies rouges Son sang,
pendant que le lierre "femelle" symbolisait l'immortalité ( Sulgrave
Manor, "Un Noël Tudor," p. 6) Pareilles couronnes maintenant non
seulement ornent les églises au temps de Noël, mais apparaissent aussi durant
la saison de Pâque.
5. Le Gui --
L'usage de la plante du gui (qui est poissonneux pour l'homme et les animaux)
peut être retracé jusqu'aux anciens Druides. ( Les Druides étaient des prêtres
Celtiques et païens qui étaient considérés être des magiciens et enchanteurs.)
Cela représentait le faux "messie", considéré être par les Druides
comme une branche divine qui était tombé du paradis et qui avait poussé sur un
arbre sur terre. Ceci est une corruption évidente de
Un baiser est aussi
quelque chose qui est, parfois, associé avec le désir. Ainsi la pratique de
" baiser sous le gui" avait aussi des racines dans les célébrations
orgiaques en rapport avec la cérémonie Celtique du Milieu de l'Été. En ce temps
le gui était amassé, les hommes s'embrassaient comme une manifestation de leur
homosexualité. (La coutume fût plus tard élargi pour inclure hommes et femmes.)
Baiser sous le gui rappelle aussi le temple de prostitution et la licence
sexuel prolifiquant durant Saturnalia Romain.
6.Saint Nicholas
--Saint Nicholas ou "Père Noël" est une corruption du Hollandais
"Sant Nikolaas." ("Saint Nicholas" était l'évêque
Catholique du 4ième siècle de Myra en Asie Minor, qui donnait des friandises
aux enfants; Il fût canonisé par l'Église catholique romaine," considéré
comme un ami spécial et protecteur d'enfants." Le costume rouge vient du
fait que les évêques et les cardinaux Catholiques en Italie portent le rouge.)
Saint Nicholas était aussi connu comme "Kriss Kringle," une
corruption du "Christ Kindl" Allemand -- Enfant Christ. Ceci doit
être un des plus subtils
blasphèmes de
Satan, cependant la plupart des Chrétiens sont inconscients de ça.
Au départ, le
concept du Père Noël venait du dieu païen Égyptien, Bes, un rondelet, genre
lutin personnage qui était le protecteur des petits enfants. C'était dit que
Bes demeurait au Pole Nord, travaillant toute l'année pour produire des jouets
pour les enfants qui avaient été bons et obéissants envers leurs parents. En
hollandais, il était nommé "Sinter Klass." Les habitants hollandais
apportèrent la coutume en Amérique. En Hollande et d'autres pays européens, le
Père Noël original était actuellement un macabre personnage qui traversa la
campagne, déterminé à savoir qui avait vraiment été "vilain ou
agréable". Ceux qui s'étaient mal conduit étaient sommairement changés.
L'association du Père Noël avec la neige, les rennes, et le Pole Nord suggèrent
des traditions scandinaves ou Norroises de la saison de Noël. (En Babylone,
aussi, le renne était un symbole du puissant, Nimrod. Le symbolisme des ramures
portées sur la tête d'un noble chef démontrait sa prouesse comme chasseur, et
alors, influence les gens à le suivre.)
Le Père Noël est un
substitut blasphémateur pour Dieu! Il lui est donné systématiquement des
pouvoirs surnaturels et des attributs divins que Dieu seul possède. Pensez-y.
On le rend omniscient -- il sait quand chaque enfant dort, se réveille, a été
méchant ou bon, et sait exactement ce que tous les bons enfants veulent (cf.
Psa. 139: 1-4). On le rend aussi omniprésent -- pendant une nuit de l'année il
visite tous les "bons enfants" dans le monde et leur laisse des
présents, apparemment étant partout en même temps. On le rend aussi omnipotent
-- il a le pouvoir de donner à chaque enfant exactement ce que chacun d'eux
veut. De plus, on fait du Père Noël un juge souverain -- il ne répond à personne
et personne a autorité sur lui, et quand il "vient en ville," il
vient avec un sac plein de récompenses pour ceux dont la conduite fût
acceptable à ses yeux.
Le Père Noël est
devenu un des mythes le plus populaire et largement accepté et non opposé à
être tissé avec succès dans le tissu et la structure du Christianisme. C'est un
fait que le Christ est né, et cette vérité devrait réjouir énormément le cœur
de chaque Chrétien. Mais le mythe du Père Noël déforme la vérité de la
naissance du Christ en mêlant subtilement la vérité avec le mythe du Père Noël.
Quand des parents Chrétiens mentent à leurs enfants concernant le Père Noël,
ils enlèvent l'attention des enfants envers Dieu leur occasionnant à se
concentrer sur un homme joufflu vêtu d'un costume rouge ayant des qualités
ressemblant à celles de Dieu. Tout ceci apprend à l'enfant à croire que, comme
le Père Noël, nous pouvons plaire à Dieu avec des "bons
accomplissements," faits afin de gagner Sa faveur. Aussi, ils enseignent
que peu importe à quel point l'enfant a été méchant, il sera récompensé
quand-même par Dieu -- comme le Père Noël ne manquait jamais d'apporter des
cadeaux. Même dans les demeures de Chrétiens pratiquants, le Père Noël a
déplacé Jésus dans la sensibilisation et affections des enfants, devenant
l'esprit incontesté, symbole, et l'objet central de Noël.
7.
8. Bûche de Noël --
La bûche de Noël était considérée par les anciens Celtes comme une bûche sacrée
qui devait être utilisée dans leurs festivals durant le solstice d'hiver; le
feu procurait les promesses de chance et longue vie. La bûche de Noël à chaque
année devait être sélectionnée dans la forêt
La tradition de la bûche de Noël d'aujourd'hui nous
parvient de
http://www.heimdallr.ezwww.ch/mithra.html :
Avant le christianisme, les fêtes païennes et religieuses étaient nombreuses autour de la date du 25 décembre. Les plus connues étaient les Saturnales du 17 au 24 décembre, le culte de Mithra célébré le 25 décembre et la fête des sigillaires à la fin du mois de décembre.
À l'époque romaine, les Saturnales, fêtes religieuses, étaient fêtées à Rome et dans les provinces romaines du 17 au 24 décembre. Elles célébraient le règne de Saturne, dieu des semailles et de l'agriculture. Elles étaient la manifestation de la fête de la liberté (libertas decembris) et du monde à l'envers. Jour de liberté des esclaves à Rome, ces derniers devenaient les maîtres et les maîtres obéissaient aux esclaves. Les Saturnales ont laissé des traces au Moyen Âge dans la fête des fous.
Venu de Perse, le culte de Mithra s'est
répandu au IIIe et IVe siècles av. J.-C. Ce culte présentait de nombreuses
similitudes avec des cérémonies et des rites chrétiens : baptême, hostie, repos
du dimanche.
Le 25 décembre, on fêtait, par le sacrifice d'un
taureau, le Sol invictus (Soleil invaincu) correspondant à la
naissance de ce jeune dieu solaire, qui
surgissait d'un rocher ou d'une grotte sous la forme d'un enfant nouveau-né.
La fête des sigillaires, sceaux ou cachets de
terre, était une fête romaine païenne. À la fin des Saturnales, les Romains
avaient l'habitude d'offrir des cadeaux, en particulier aux enfants : anneaux,
cachets, et menus objets. Cette fête des sigillaires donnait lieu à des festins
pour lesquels les maisons étaient décorées de plantes vertes.
Au Moyen Âge, la fête des fous et la fête de l'âne furent très populaires.
La fête des fous était célébrée le jour de Noël le 25 décembre, ou le jour de l'An ou de l'Épiphanie. Elle rappelait les Saturnales romaines. C'était un temps de liberté où les domestiques devenaient les maîtres et les maîtres les domestiques. En cette seule journée, les valeurs établies de la société étaient renversées et la religion était tournée en dérision.
La fête de l'âne était célébrée dans certaines villes la veille de Noël ou au cours des secondes vêpres le 25 décembre : en souvenir de la fuite en Égypte, une jeune fille tenant un enfant dans ses bras pénétrait dans une église à dos d'âne. Pendant la messe, toutes les prières se terminaient alors par "hi-han". L'Église a rapidement interdit ces célébrations qui prenaient un caractère obscène.
Partout en Europe, des fêtes romaines, germaniques ou celtiques marquaient le début de l'hiver. Le christianisme prend ses origines et son essor dans le monde antique en proposant une nouvelle promesse de vie, en annonçant une nouvelle lumière du monde en la personne de Jésus-Christ. Peu à peu est institué à partir du IVe siècle un calendrier de fêtes religieuses. Elles sont destinées à supplanter les anciens rites et les fêtes païennes.
Noël est la fête de
Quant à la signification du mot Noël, il pourrait avoir trois origines :
-une origine judaïque
-une origine latine religieuse, rattachée à Dies
natalis (le jour de la naissance du Christ).
-une origine celtique, plus controversée, du nom
gaulois novo (nouveau) et hel (soleil)
correspondant au solstice d'hiver.
Le solstice d'hiver marque l'arrivée d'une
période d'hiver et d'agriculture difficile et en même temps une période de
renaissance et de renouveau. En témoignent les rites agraires, le cycle des
douze jours et les signes du zodiaque.
La langue usuelle et la vision commune sont inévitablement influencées, dans une certaine mesure, par une perspective chrétienne : les chrétiens parlent " d'Ancien Testament "; pour les Juifs, l'alliance de Dieu avec le peuple juif n'est pas périmée.
Le contexte de l'apparition du christianisme
dans le monde romain est, plus largement, celui de la diffusion des "
religions " dites " orientales " ou " religions " à
mystères (c'est à dire à rituel initiatique) : Mithra (Perse),
Au III°ème siècle, sous l'influence du néoplatonisme, ces cultes se spiritualisent (peut-être l'influence du Christianisme n'est-elle pas étrangère à cette évolution). Autrement dit, s'il y a bien originalité de la conception des premiers chrétiens par rapport à cet environnement, elle doit être évaluée de façon très nuancée.
La force d'attrait du christianisme était-elle fondamentalement différente de celles des mystères de Mithra ou du culte d'Isis ? Pas forcément, et même, dans la plupart des cas probablement pas. Il ne fait aucun doute que pour certains, devenir fidèle du Christ ne s'accompagnait d'aucun exclusivisme. Les pères de l'Eglise sont obligés de pourfendre les chrétiens qui continuent à fréquenter les temples.
Quels sont les vecteurs de diffusion du christianisme ? Exactement les mêmes que ceux des autres cultes orientaux : avant tout les marchands des provinces orientales. Le cas des martyrs de Lyon en 177 (dont Blandine) est exemplaire : Lyon est un grand centre portuaire et commercial, siège de nombreuses colonies d'Orientaux. L'autre vecteur, les légions, a peut-être moins joué pour le christianisme.
En Asie Mineure, le Christianisme connaît une diffusion précoce, et précocement importante dans les milieux ruraux. Deux facteurs ont pu intervenir : d'une part, le substrat religieux indigène, volontiers ascétique, créait un terrain favorable ; d'autre part, les structures encore très fortes de la communauté villageoise expliqueraient l'adhésion collective de nombreuses communautés. Cela s'ajoute à la très forte présence de communautés juives elles aussi rurales.
Durant les deux premiers siècles de l'Empire, ce serait un contresens de parler de persécution religieuse. Les chrétiens sont poursuivis (quand ils le sont, ce qui est loin d'être systématique) pour des crimes de droit commun. La lettre de Pline en 111/112 illustre le mécanisme concret de condamnation, le motif d'obstinatio, l'entêtement, l'insubordination. En l'occurrence, le refus d'obtempérer à l'ordre de sacrifier est la cause de l 'exécution. Rien d'une persécution religieuse en soi.
Il faut aussi minimiser la vision d'une hostilité généralisée. Aux invectives de Tacite répond l'attitude placide de Pline. L'hostilité populaire, dans un univers où la dimension religieuse est étroitement liée à la vie municipale, tient au fait que les chrétiens semblent refuser de se mêler à la vie publique et se tenir à l'écart des autres. D'où un quiproquo fondamental : ce qui pour les chrétiens est refus d'un culte païen est, pour leurs concitoyens, misanthropie généralisée.(A l'époque hellénistique, les Juifs avaient fait l'objet de semblables accusations d'amixia, de refus de se mêler aux autres).
Lors de la " persécution " du III°ème siècle, sous l'empereur Dèce, les facteurs politiques sont encore importants : en période de crise militaire grave, le refus des chrétiens de participer au sacrifice général aux dieux " pour le salut et la conservation " de l'empereur, exigé de tous les citoyens, apparaît comme un refus de prouver son loyalisme politique. Sous Dioclétien, le vaste mouvement de répression peut avoir un fondement plus directement religieux, ou plus politico-religieux, parallèlement à la promotion du culte solaire comme religion nationale (par Aurélien en 274), à la sacralisation du pouvoir politique (théologie jovienne).
La conversion de Constantin bouleverse les conditions de diffusion du christianisme. Est-elle seulement le produit d'une conviction intime ? Ne faudrait-il pas songer à des considérations politico-religieuses ? L'adaptation de la pensée politique stoïcienne par le christianisme convenait parfaitement à un pouvoir impérial fort, l'empereur y étant le représentant de Dieu sur terre, et jouissant lui-même d'un certain degré de sacralisation.
Sur le plan strictement religieux, le néo-platonisme et le culte solaire (Sol Invictus) prouvent l'évolution de la sensibilité religieuse du monde romain vers une plus grande spiritualisation, vers une véritable forme de monothéisme (ou d'hénothéisme).
Pour expliquer la conversion des basses couches sociales, il faut tenir compte de plusieurs facteurs d'ordre socio-économique : les institutions ecclésiastiques remplacent les associations de petites gens (collegia tenuiorum) et s'occupent des pauvres tant chrétiens que païens.
Dans les campagnes, l’œuvre des missionnaires bien connue par les Vies de Saints fut sans doute déterminante : les " miracles " peuvent s'inscrire dans une mentalité religieuse polythéiste. On s'en remet à la divinité la plus efficace.
La conversion peut enfin s'appuyer sur l'autorité politique et sociale des grands propriétaires : quand l'un d'eux se convertit, l'évêque l'encourage à convertir les paysans qui dépendent de son autorité. L'Afrique du Nord, une région des " grands domaines " fonciers, a aussi connu une large diffusion du christianisme.
Le succès du christianisme ne se résume donc
pas seulement à l'évolution de la sensibilité religieuse, mais il a aussi son
origine dans des facteurs socio-économiques et politiques (c'est à dire des
aspects socio-religieux et politico-religieux).
Sylvie
Honigman, Université de Caen
Le Christianisme n'est pas autre chose que la religion de l'empire romain, c'est-à-dire du Césarisme (où le nouvel Alexandre n'a d'autre légitimité que ses actes), reprenant le calendrier de Jules César (JC) et identifiant grossièrement la naissance de Jésus Christ (JC) avec la naissance de l'Empire. C'est son adoption par l'empereur Constantin qui en a fixé le dogme et lui a donné son véritable essor. L'unité d'un empire regroupant de si nombreux peuples ne pouvait se satisfaire de la religion romaine hellénisée, utilitaire, imprégnée de superstitions et confisquée par l'aristocratie patricienne (qui détenait les sacra), encore moins de la divinisation de l'empereur. Les légions romaines popularisaient le culte de Mithra, dieu de l'amitié virile et des contrats, avec ses initiations de guerriers héritées des Aryens. Les tentatives de culte solaire (Sol invictus) témoignaient de la nécessité d'une religion universelle mais cet Universel ne pouvait être atteint vraiment que par les exclus de l'empire, les esclaves, car sous l'autorité absolue de l'empereur la distinction de l'esclave et du citoyen n'a plus de sens. La diffusion de la bible des Septante, traduction en grec de l'hébreux, donnait à cette nouvelle religion la tradition qui lui manquait ainsi que sa conscience malheureuse, attisée par la destruction du temple, et qui exprimait le délaissement de l'empire à la recherche de son unité. La dispersion des Juifs dans tout l'empire favorisait aussi son universalisation comme représentant des peuples soumis face à la diaspora des maîtres (Grecs et Romains).
C'est dans le creuset d'Alexandrie, avant
Rome, que devait s'effectuer la synthèse des sectes esséniennes (ou gnostiques,
héritières de
L'incarnation de Dieu dans l'homme et la divinisation de l'homme par son péché originel abolissent la distance païenne entre les dieux et les hommes (la double transcendance de l'Un divin) pour un rapport personnel, rapport au prochain comme fondement de Dieu. Ce qu'exprime le Dieu bon qui nous aime en tant qu'on l'aime (là où deux ou trois personnes seront réunies en mon nom, je serais au milieu d'elles). La personnalité juridique romaine trouvait là un fondement universel (Catholicon) qui faisait de chaque être humain, maître comme esclave, Romain aussi bien que Juif, l'incarnation du divin (L'homme passe infiniment l'homme. Pascal).
Différentes sources citées :
http://www.heimdallr.ezwww.ch/mithra.html :
http://vvv.webstore.fr/cathhh/noel.rtf :
http://www.censure.org/politique/religions/catho/noel.htm
www.webstore.fr/vvv/cathhh/noel.htm
http://vvv.webstore.fr/cathhh/ch6.htm
Noël et la fête de l'Annonciation
Les Deux Babylones,
Alexandre Hislop,
Librairie Éditions Fischbacher,
1972, Paris, p. 133-150
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