Cette semaine
nous vous proposons deux articles:
1er article:
Que de
choses préoccupantes, douloureuses, scandaleuses, aujourd'hui sous la calotte des
cieux ! Pourquoi ne pouvons-nous vivre tranquilles ? C'est pourtant ce que nous
voudrions tous.
L'histoire récente dit: c'est la faute aux autres, c'est la
faute aux parents, c'est la faute aux dirigeants, c'est la faute aux ennemis,
c'est la faute.... C'est commode. C'est si vite dit. Et on s'en sort à si bon
compte !
Car quand on aligne ces accusations massives: "c'est la
faute", en même temps que le point précis qui nous gène, on a dans
l'esprit, plus ou moins consciemment, un peu de tout ce qui ne va pas. On est
indigné. Une injustice criante nous a pris à la gorge. On voudrait hurler....
Et toutes les rancunes, toutes les déceptions, tous les ressentiments
s'accumulent. On a trouvé un coupable. On est prêt à lutter.
Cette histoire est vieille comme le monde. Déjà le
premier homme dialoguant avec DIEU
disait: "ce n'est pas moi, mais bien la femme que tu m'as donnée."
(Gen.3,12). Déjà sa réaction instinctive, sous un
regard mettant à nu son âme, consistait à tendre un doigt accusateur.
Pourquoi ? pourquoi
sommes-nous si prompt à juger, à dénoncer, à condamner ? Alors que les saintes
écritures nous l'interdisent - (Math.7:1-2). Pourquoi sommes-nous prompt
à voir les responsabilités établies, et du même coup à reconnaître notre
innocence ?
Au fond, nous ne nous sentons pas si sûrs. L'élémentaire
justice fait de nous des accusés possibles. Regardons nos mains: elles ne sont
pas si innocentes. Et nos cœurs, sont-ils si généreux ? On pourrait nous
démasquer, dévoiler certains de nos actes sous son vrai jour.
N'avons-nous bousculé
personne pour arriver à la place que nous occupons ? N'avons-nous pas des
lèvres médisantes ? Ne sommes-nous pas aussi des oppresseurs dans notre
famille, dans notre profession, ou tout simplement des injustes ?
Te voilà pris au piège; pareil à l'enfant qu'on surprend
dans un lieu défendu, tu accuses: "…ce n'est pas moi, c'est
lui". Est-ce bien sûr ?
Eh bien, quelqu'un dans son incroyable générosité, a accepté
cette injuste accusation. Quelqu'un, oui DIEU
Lui-même. Dans la personne de son Fils unique (Prov. 8:22-31) qui a
accepté de mourir, lui innocent, pour les coupables. Quelqu'un. Jésus-Christ le
SAUVEUR du monde. C'est vers Lui, accusé que tu peux te tourner pour être libre
de toute culpabilité, pardonné, délivré. Et il sera alors ton SAUVEUR, mon
SAUVEUR. Amen.
Vén. Woli Pascal DEGNIDE
Ecc
Drancy
2è article:
Le miracle ne peut se
déclencher qu'au travers de l'amour pour ceux qui n'ont rien. C'est dans la mesure
où il y a de l'intérêt pour les autres que Jésus va agir.
Le Miracle, c'est donner
à Jésus le peu que nous avons pour qu'il le multiplie (Mathieu
14:15-21).
Ce peu est:
- de l'argent à partager
- de notre confort à
partager
- de notre temps à partager
- de nos vêtements à
partager
- de notre
nourriture à partager
- de nos capacités à
partager …
Oui il faut que nous
soyons un instrument qui permette à Jésus de faire une multiplication.
Devancière Martine CHAULNET
ECC - Drancy
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