MEDITATIONS

 

"Sans écrits, sans lectures, sans prédications et enseignements, il ne peut y avoir de méditations bénéfiques."  Jules Eboumou

Partie IV

Ø      Cet article qui est diffusé en 4 parties possède la structure suivante:

 TABLE  DES  MATIERES

*        INTRODUCTION

*        LA MEDITATION TRANSCENDANTALE

*        LA MEDITATION

*        ATTENTIVE REFLEXION SUR LA VERITE

*        L'ARME AU COMBAT : LA PRIERE

*        COMMENT MEDITER

*        Où MEDITER

*        LE RESULTAT :  CHANGEMENT DE VIE

*        LA REVUE ou le SITE INTERNET  "MEDITATIONS"

*        CONCLUSION

*        CANTIQUE : Chrétien Céleste Le Grand Jour Est Venu

  

Partie IV

MEDITATIONS  1: Sommaire

COMMENT MEDITER ?  1

OU  MEDITER ?  2

LE RESULTAT : 2

CHANGEMENT DE CONDUITE  2

LA REVUE OU LE SITE «MEDITATIONS»  3

CONCLUSION   4

Chrétien céleste, 4le grand jour est venu  4

 

COMMENT MEDITER ?

 

            L'appât du gain pousse l'homme à courir encore, à courir toujours sans jamais prendre le temps de s'arrêter. A force de déployer ses muscles après le néant, le vent, l'on oublie de se taire. Se taire pour soigner son appel, sa vocation.

Que nous en soyons conscient ou pas, chacun de nous doit dans sa brève existence ici bas maintenir des temps de silence, de recueillement et d'écoute du Fils de l'Homme. Cette écoute, cette méditation vient des moments consacrés à la lecture et à l'audition de l'écriture : les commentaires de diverses origines mais particulièrement de l'Evangile. Il est criminel de ne point méditer dans son coeur la Parole du DIEU vivant. Ce temps varie d'un individu à l'autre, l'important étant qu'il existe et ne subisse point l'usure du temps.

 

            La MEDITATION prélude la foi qui vient de DIEU, lequel demande la totalité de notre ère, de notre pensée et de notre coeur durant le temps choisi et consacré à cet effet. Il faut une disponibilité totale durant ce temps afin de ne pas être un auditeur distrait, absent, emporté et accompagné par les soucis de la vie comme l'enseigne la Parabole du Semeur en Mt 13:1_30.

La meilleure manière de MEDITER qui convienne quand il s'agit du Très-Haut, c'est de se taire, d'écouter avec foi en toute humilité la voix et de garder ses pieds dans la voie qu'il nous a dessinée, puis de la vivre.

Nous sommes nombreux parmi le peuple de DIEU à nous gaver de nourriture sans jamais croître parce que nous méditons mal. Parce que nous méditons sans méditer là où il faut.

 

OU  MEDITER ?

 

            Puisque nous pouvons en tout lieu élever des mains pures et invoquer notre DIEU, nous pouvons en tout lieu méditer les écritures. Nous pouvons le faire dans le train, dans la voiture, au job, au marché, chez nous avant le sommeil et au réveil. On peut le faire dans le temple bâti par l'architecte inégalable qu'est l'ETERNEL. On peut méditer... en prison.

Il est injuste de constater qu'à la moindre difficulté, le chrétien céleste se défoule sur DIEU, le menace de s'en aller loin de sa face (hic !), blasphème contre son Esprit en attristant le sien propre. Or le murmure est le témoignage d'une attitude fausse devant DIEU nous apprend le dictionnaire biblique cité plus loin. En effet un homme ne peut-être honnête devant le Roi si, tout en obéissant extérieurement aux commandements, il murmure dans son coeur( Ex 15:16_17;De 14:16). Ce comportement ôte toute valeur à l'obéissance formelle aux commandements et désigne, poursuit le dictionnaire, en fait l'infidèle (Jd 16) ; aussi DIEU ne laisse pas le mécontentement impuni.

 

            Un homme comme vous et moi, loin d'élever des jérémiades contre l'Eternel, avait mis à profit ses longues années de détention pour se faire abondamment visiter par JESUS. Cela nous vaut aujourd'hui et ce, depuis hier, de très beau textes inspirés, de très belles épîtres qu'aucun de son service, ne peut oublier de citer. Cet homme de la même nature que vous et moi, c'était Saul De Tarse devenu régénéré par le sang de CHRIST : PAUL.

Les quatre années de prison dont a joui l'apôtre PAUL lui ont permis de rédiger le tiers des épîtres qui portent son nom soit quatre sur treize. Colossiens, Ephèsiens, et Phil-èmon furent écrits et expédiés en même temps pendant que l'apôtre découvrait la prison pour la première fois Rome Ac 28:30_31 et envoyée à leur destinataire par un porteur, Tychique Cf 4:7 ; Ef 6:21. La deuxième lettre à Timothèe dite épître pastorale est le dernier document écrit de PAUL, dans son vieil âge, toujours en prison à Rome 2T ; 1:17. Aussi jette t-il un regard scrutateur sur le passé (2Ti 1:5_7), le présent (2Ti 1:15_17), et l'avenir (2Ti 3:1_5). La prison lui a procuré le temps de réflexion de méditation suffisant ce qui se traduit quelque part par le ton joyeux des épîtres, la progression dans la compréhension de la vérité divine.

 

            Si nous sommes persuadés que l'Evangile de CHRIST est une puissance pour le salut de quiconque croît que le Fils de l'homme est DIEU, une première victoire nous est acquise.

Si enfin nous purifions notre appel en éloignant les branchages indésirables qu'hier encore nous affectionnant pour qu'en nous, en tout temps et en tout lieu, le Sauveur soit la tête de toutes choses, alors nous aussi nous acceptons d'être des prisonniers du Roi désormais affranchis de l'esclavage du pêché.

Par la grâce qui lui a été faite par le Seigneur, de sa prison, PAUL a produit des oeuvres variées pour notre instruction. Des vastes murs invisibles de nos prisons actuelles, apprêtons-nous à laisser par nos saines réflexions sur les choses de DIEU, nos empreintes indélébiles aux générations à venir. Aujourd'hui la prison c'est le monde où nous vivons. Changeons-le avant qu'il ne nous phagocyte.

 

 

LE RESULTAT :

CHANGEMENT DE CONDUITE

 

L'Evangile n'est pas une sagesse humaine. Aussi les hommes qui, dans leur façon de vivre, font leur propre publicité affichant leur suffisance quoique étant despotes (2 Co 11:19_20) et toujours prêts à prendre le large à la moindre difficulté (2 Co 11:12) n'ont pas été connus de l'Eternel. Leur vie ne témoigne pas en faveur du message divin. En certains hommes, la présence de DIEU est transparente. Nous pouvons donc par un frère rencontrer l'Eternel avant d'en faire sa propre expérience.

Dans ce cas comme dans l'autre, celui qui s'efforce d'enrichir sa vie spirituelle en mettant son coeur à l'écoute de DIEU, reçoit de nouvelles richesses qui transforment totalement son existence.

 

Ouvrir son esprit pour accueillir l'Esprit en se rendant disponible à la parole, à sa méditation élève le pêcheur au-dessus du pêché. Et cet Evangile qui est une nouvelle, celle de la croix, moyen du salut ne peut être ensemencé dans les coeurs à coup de spéculation ou autres moyens humains. "Mais, lorsque la bonté de DIEU notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justices que nous aurions faites mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénérescence et le renouvellement du Saint-Esprit, qu'il a répandu sur nous avec abondance par JESUS-CHRIST notre sauveur." Tite 3: 4_6

 

L'assiduité de la réflexion sur l'écriture rallume en nous les feux du repentir, de la contrition du coeur, de l'amour. C'est là la voie royale qui débouche sur la réception de la plénitude de l'Esprit, et nous rétablit dans notre nature divine.

Effectivement, quand cet Esprit-là, le consolateur vient se loger en vous, alors toutes les conditions de votre acharnement sont réunies. Car il vous apporte la transformation profonde de tout votre être. Dès lors, cette "résurrection" avant le temps, pour l'homme, le pousse inexorablement à ne s'affectionner qu'aux choses spirituelles et à rejeter méchanceté, médisances, complots... les oeuvres de la chair hélas si appétissantes à notre palais. C'est la conversion normale au Seigneur

Sans la foi en notre Créateur, sans la présence de son esprit en nous, nous trouverons l'Evangile trop épicé, indigeste. Cela nous disqualifierait dans notre intention de le servir dans ce monde et nous conduirait avec certitude à sérieusement hypothéquer notre espérance de prendre possession du royaume préparé avant ce mauvais temps. C'est ce défaut d'Esprit qui fit, dans un passé lointain, d'un certain Saul de Tarse un blasphémateur, un persécuteur de CHRIST et de son église, un homme violent Ga 1:13. C'est ce même défaut de disposition qui, de nos jours encore, continue de disqualifier de nombreux docteurs de la loi ignorants sous le rapport de la sagesse et de la connaissance divine.

 

Le radical changement de Saul traduit avec clarté le grand coeur rempli d'amour de notre Père, et nous encourage à la prière, à la louange, à la persévérance dans la recherche de la compagnie du Saint-Esprit.

La grâce divine appelle à la collaboration volontaire de l'homme à son propre salut, à la soustraction de son esprit de l'emprise de la puissance maléfique. C'est à ce prix que la vie individuelle de l'ouvrier du Seigneur se trouve transformée et par extension celle de sa famille, puis de toute la nation. Ceux qui dans leur coeur ont réfléchi sur la parole et l'ont accepté pour assimiler se découvrent amoureux du Seigneur et éprouvent de la haine pour le mal. La parole produit donc son effet en les transformant pour en faire des serments irrémédiablement attachés au cep.

 

Le changement de vie est donc un long acte. Quand DIEU vous dépouille de l'encombrant vieil homme poussiéreux en lui substituant le nouvel homme, alors le Saint-Esprit vous donne une vie qui triomphe de la rébellion et de la mort. C'est cet Esprit qui a le pouvoir d'arracher de nos coeurs les plants de la stérilité et y remblaie les vallées de murmures et autres chuchotements contre le DIEU de fidélité.

Nous avons, pour beaucoup, commencé à amorcer la transformation de nos coeurs à partir de CHRIST que nous avons entendu et qui, dans un premier temps, nous avait fait violence. Nous l'avons entendu, médité et compris parce que des hommes établis l'ont annoncé.

A quand déciderons-nous de prendre la relève de ces braves ouvriers soit par l'enseignements oral, soit par nos récits ?

 

 

LA REVUE OU LE SITE «MEDITATIONS»

 

Nous avons appris que "Qui n'a rien n'a nul partage à faire". Mais nos anciens ont un partage à faire car ils sont immensément riches. Et si certains "sont ignorants sous le rapport du langage écrit, ils ne le sont point sous celui de la connaissance "2Co11:6).

Si au souvenir de l'enseignement oral qu'ils ont reçu et donné, enseignement fort instable, ils pouvaient offrir un texte dans lequel tous les célestes retrouveraient l'essentiel d'un même enseignement, grand avait été notre bonheur.

 

Toute âme est en procès constamment avec la mort, le dernier ennemi. Bien qu'anciens, leur âme n'échappe pas à ce combat. Ne devraient-ils pas par mesure conservatrice transmettre les révélations dont ils sont les dépositaires et le fruit de leurs réflexions en guise de testament spirituel ? Pour assurer la croissance harmonieuse des jeunes, ne devraient-ils pas mettre entre leurs mains des écrits auxquels ils référeraient, de précieux documents capables d'apporter une argumentation éclairée aux détracteurs éventuels et à ceux qui ont choisi de dévier de cette voie.

 

Les africains, surtout, ont un pressent devoir d'écritures au profit de l'ECUS pour plusieurs raisons. …. Et comme l'encre la plus pâle vaut mieux que la mémoire la plus forte, qu'attendons nous ?

Comprenons-nous : je n'ai jamais pensé que l'ECC appartient aux africains. Cela supposerait que je n'ai pas encore étudié l'épître de Paul aux Ephésiens. Mais si la mort puis la résurrection du CHRIST confirment et rétablissent l'universalisme du salut, il empêche que l'Evangile est bourré de termes locaux justifiant leur destination et le lieu de leur rédaction originels.

Ils est incontestable que l'essentiel de la population de la Sainte Eglise venue des Cieux est constitué de frères et soeurs ayant entendu parler du Seigneur ailleurs dans un premiers temps. Ces déçus de religions hyper-organisées ont entendu parler de vous (car l'ECC, c'est vous) et sont arrivés à vous tout heureux et impatients de mieux vous connaître. Mais où sont vos écrits ? Où sont les traces des prodiges de CHRIST à travers SBJ-OSCHOFFA dans l'ECC ?

 

Les célestes de la terre sont des orphelins du point de vue de la chair car notre père OSCHOFFA s'est endormi, et sa mémoire est déchirée, truquée, trahie et rejetée par les mêmes qui, de son vivant déjà, en faisaient leur festin.

Nos pères étaient et sont illettrés ? Soit ! Alors qu'ils veuillent bien transmettre leurs méditations à leurs proches collaborateurs, car le nombre de jeunes convertis à CHRIST issus du programme de l'animisme croît et ignore le fondements de la foi. Le Jacobisme spirituel qui, hier était en cours du fait que dans le petit village d'à côté, seuls le maire et l'instituteur savaient lire prend fin et aujourd'hui et demain, l'esprit est à portée de tous les coeurs, dès lors qu'ils savent entendre et recevoir la parole afin de tuer en eux-mêmes le moi pour que le JE suis vive

 

Le devoir d'un bon serviteur de l'Evangile est de transmettre ce qu'il a entendu, médité et compris en évitant les discussions doctrinales 2Ti2:23-24. Chaque Eglise a besoin de ses anciens. Nous plus que les autres. Si les nôtres, plus compétents mais peu disponibles ne veulent pas ou ne peuvent pas écrire pour édifier leurs enfants, les plus jeunes certes moins qualifiés le feront. A ces derniers de savoir contourner les trafics d'influence, les pressions gérontocraties inévitable et autres venins du découragement qu'ils recevront insidieusement, et de poursuivre dans l'humilité et le souci didactique leurs travaux d'intérêt général ; à charge pour les doyens d'apposer avec contrôle le sceau de conformité.

 

Certains esprits retors nous rappelleront que la première intention du CHRIST a toujours été d'écrire sa Sainte loi dans le coeur et la vie intérieure de ses disciples... Mais l'existence même de sa Parole écrite par ses enfants enlève tout intérêt à la question. Abordons toutefois le problème sous un autre éclairage. Combien d'entre vous, jeunes frères, n'ont pas surpris une discussion entre des anciens tout à fait dignes de confiance où l'une des parties, après avoir prêté des propos à notre père OSCHOFFA, entend immédiatement l'autre partie prêter sur le même point des propos en tous points opposés aux premiers ? Comme si cet homme de DIEU aurait pu enseigner que la vérité et son contraire s'équivalent. Nous le voyons: même une bonne mémoire subit l'usure du temps et c'est pour éviter l'oubli créateur que j'affirme que l'encre la plus pâle vaut mieux que la mémoire la plus forte.

 

En mettant en circulation « MEDITATIONS », cette revue chrétienne, vous avez démontré que vous aviez soin des vôtres, et que ce que vous appris, reçu et entendu des anciens (Phil 4:9), il vous importe de le partager avec autrui. Ne serait-ce que pour cela, DIEU vous donnera la couronne incorruptible réservée à ceux qui auront appris aux autres à garder ses commandements. Vous avez compris que le monde de l'oralité est mort. Et c'est donc ce soucis de démonstration du savoir, de la divulgation de connaissance que très timidement, avec les très modestes moyens financiers dont je disposais, dès 1990, je me lançais dans l'écriture afin de proposer aux célestes de France des fascicules, car la Parole de DIEU n'étant pas liée(2Ti2:9), pourquoi la retenir captive dans ses entrailles ?

 

CHRIST a vécu et vit «MEDITATIONS» continuera pour la gloire de notre DIEU. Que DIEU bénisse ses initiateurs.

 

 

CONCLUSION

 

En plagiant l'Evangile de CHRIST en Lc11:27-28, je déclare que ne sont pas heureux les chrétiens célestes en tant que tels. Car seront véritablement heureux plutôt ceux qui écoutent, méditent la parole de DIEU, et qui la gardent ! La génération selon la chair n'est pas, n'en déplaise à certains dans l'ECC, la source de la véritable béatitude. Cette béatitude est le partage des enfants de la liberté dans le Seigneur.

 

Nous venons de l'entendre et de le comprendre : la MEDITATION nous rend attentifs à l'appel du Roi de gloire.

Le temps de la moisson arrive à grands pas. Et l'imminence du jugement se justifie par le salut gratuit offert par notre Seigneur. Voici quelques-unes des raisons qui me poussent à vous rappeler à la vigilance, à vous rappeler à la conversation vraie. La désinfection des enseignements apportés par les prédicants est une question de vie ou de mort individuelle. Ne l'oublions pas : un grand ouvrier du Seigneur poussé par le Saint-Esprit nous mit en garde en termes clairement choisis :

 

"Il y a parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine. ... Après avoir quitté le droit chemin se sont égarés en suivant la voie de Balhaam, fils de Bosor, qui aima le salaire de l'iniquité..."

2Pi2:1,15

 

Nous n'irons pas plus loin ici. Nous chargeons chacun d'entre vous ici d'entrer en lui-même, et de s'emménager ainsi un espace de couvent. Cette démarche ne nous élèvera pas au rang de moine, mais elle nous ouvrira des attitudes suicidaires et amassons avec CHRIST. Expérimentons le bénéfice de la rencontre avec le Sauveur, car tous ceux qui sont passés par là savent l'importance de l'enjeu et chacun d'eux est resté neutre. Encore faut-il, pour opérer son choix dans une situation aussi décisive que celle-ci savoir qui est JESUS CHRIST, et connaître la substance de son message. La césure radicale subsiste à ce niveau. Ceux qui acceptent sans murmurer la Parole en sont purifiés et deviennent une offrande agréable pour DIEU, appartenant à CHRIST.

 

Beaucoup déclarent:"Mangeons et Buvons, car demain nous mourrons". Mais je vous dit:"ATTENTION A DEMAIN !". Il faut écouter la Parole, la méditer, la comprendre et changer aujourd'hui.

Si les hélices ronronnantes de nos jets privés courent à tout vent, loin d'entretenir notre vie éphémère, affectent la Vie en nous, elles feront de chaque créature divine un être déraciné, sans idéal. Car l'oubli de cet Être supérieur qu'est le Très-Haut ouvre un boulevard à toutes les formes de divagations.

L'homme est un animal vraiment étrange qui rejette et discrédite souvent ce qui peut lui procurer bien-être. De grands intellectuels tentent désespérément de nous communiquer leur déviation.

J.P SARTRE, Prix Nobel de littérature refusé ne déclare t-il pas que DIEU est mort ? A.CAMUS, lui aussi Prix Nobel de littérature s'emploie à justifier la conscience coupable, mais très rapidement il la glorifie, dit-on. Nous savons que le coeur humain est constamment tourné au mal, mais tout de même... Il est étrange que des hommes si lucides, si intelligents fassent si peu cas de leur Vie.

 

Nous ne nous lasseront pas de vous le dire : s’ils nous font oublier le Seigneur, et que nous méprisions ses enseignements, alors nous nous préparons de beaux cauchemars climatisés, insupportables dans l'au-delà, car ce dernier existe bel et bien.

La politique, la Drogue, et son royaume, la Psychanalyse, le Yoga, la M.T.S.... sont des moyens de diversion, des éléments de séduction. La recherche de la parole, son écoute active, sa méditation intelligente donnent un sens à notre vie terrestre. Elles ont le pouvoir de purifier notre conscience et de nous faire recouvrer notre nature divine perdue.

 

Aujourd'hui encore, nous devons nous méfier de ceux qui préfèrent mettre en avant en lieu et place de la Parole de Dieu, leurs fausses visions, leurs fausses révélations, des commandements d'hommes lesquels aboutissent très souvent à noyer la foi du fidèle pour mieux l'enfoncer, l'exploiter, l’égarer loin de la vérité.

 

Biens aimés, je vous invite à chanter avec moi ce cantique:

 

 

Chrétien céleste,

 le grand jour est venu

 

Chrétien Céleste le grand jour est venu ;

MEDITE bien, Chrétien Céleste

Comment as-tu examiné ton coeur ;

MEDITE bien, Chrétien Céleste je t'en supplie.

 

Le sang précieux de notre Seigneur JESUS,

Qui procura le rachat universel,

Afin que quiconque croit et obéit,

Soit sauvé par cette Eglise.

 

Es-tu toujours demeuré gros menteur ?

As- tu rejeté la convoitise?

Es-tu toujours demeuré rancunier?

Tes oeuvres sont-elles valables devant DIEU ?

 

AMEN

 

"Au reste, frères, que tout ce qui est vrai,

tout ce qui est honorable,

tout ce qui est juste,

tout ce qui est pur,

tout ce qui est aimable,

tout ce qui mérite l'approbation,

ce qui est vertueux et digne de louange,

soit l'objet de vos MEDITATIONS."

Philip 4:8

 

 

Béni soit le nom du DIEU qui m'a soutenu et à qui revient le mérite de cette MEDITATION.

 

AMEN

 

FIN

 

S/Evangéliste Jules E. BOUSSOU

Paroisse Oschoffa - St-Ouen

.

 

 

INTRODUCTION | DEDICACE | CHAPITRE I | CHAPITRE II | CHAPITRE III | LE FONDATEUR | INFORMATIONS | CONTACT | EXHORTATIONS | SACREMENTS | PRESCRIPTIONS ET ORDONNANCES | DATES | Archives

Home