Le plus grand crime de l’humanité
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Le plus grand crime de l’humanité
Le
fléau de la guerre est peut-être le plus grand crime collectif de l’humanité. Au
cours des âges, des millions de vies humaines, crées à l’image de Dieu, ont
été supprimées sans pitié, dans des guerres qui, le plus souvent, ont
totalement échoué quant à l’objectif qu’elles étaient censées atteindre. Le
plus grand Educateur de tous les temps, Jésus-Christ, le Porte-Parole
du Gouvernement divin, a dit : « Vous avez appris qu’il a été
dit : Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je
vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui maudissent, faites du
bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui
vous persécutent » …(Matthieu 5 :43-44) Il
y a eu plus de morts prématurées, de souffrances, de foyers anéantis – et
plus de temps et de biens gâchés à cause du fléau de la guerre que par
n’importe quel autre moyen employé au cours de l’histoire. La
guerre n’a jamais résolu les problèmes des hommes, ni amené une paix
permanente. Elle ne fait qu’engendrer d’autres guerres ; tous ceux qui
prennent l’épée périssent par l’épée (Matth.26 :52). Par l’intermédiaire de l’apôtre Jacques, Dieu montre que la guerre résulte d’un genre d’esprit qui est opposé à celui qu’Il désire voir chez les chrétiens. « D’où viennent les luttes et d’où viennent les querelles parmi vous ? N’est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ? Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir, vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas » (Jacques 4 : 1-2). Jésus-Christ est venu prêcher la bonne nouvelle du
gouvernement de Dieu ; celle-ci est fondée sur les dix commandements – |
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SURMONTER
LE MAL PAR LE BIEN
Comment dans ce cas devrions-nous traiter nos ennemis ? « Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s’il a soif, donne-lui à boire ; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien » (Rom. 12 :20-21). Il nous faut une force réelle de caractère pour aider et pour servir notre prochain, lorsqu’il a essayé de nous nuire. Nous avons besoin de sagesse pour nous rendre compte que c’est, après tout, un être humain comme nous – fait à l’image de Dieu – qui s’est tout simplement fourvoyé momentanément, tant dans ses pensées que dans ses actes. Au lieu de succomber à la tendance naturelle qui nous incite à vouloir rendre la pareille à celui qui nous fait du mal, nous devons apprendre qu’ « il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir » (Actes 20 :35). « Toute grâce excellente et tout don parfait viennent de Dieu » (Jacques 1 : 17). Notre vie, notre force, notre esprit, nos capacités – tout ce que nous avons ou espérons avoir – vient de Lui. Afin de vivre heureux, nous devons apprendre à donner, à servir et à aimer. Telle est la plus grande leçon de la vie. Lisez la
définition de l’amour chrétien dans le treizième chapitre de L’esprit de méchanceté et de meurtre est tout à fait l’opposé de cette qualité fondamentale que Dieu exige de ceux qui L’aiment. « Vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui » (Jean 3 : 14-15). |
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« Extraits sont issus de
l’ouvrage « Les Dix commandements » Roderick
C. Meredith - Le Monde à venir, Pasadena, Calif. (USA) – Ambassador College. |
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